Association Sportive Laïque Louhannaise
Collllllioure 6
Le 18/05/2018
~~Nous retrouvant à Dix, nous démarrons ce matin de Laroque des Albères en passant par l’ancien château dont il ne reste qu'une tour isolée. Montée ombragée avec passage à un ancien moulin en cours d'aménagement. Ensuite un long chemin bordé d'un petit canal. Nous quittons ce type de sentier rappelant les "lévadas" de Madère pour des chemins plus pentus à la découverte de plusieurs sources peu productives. Certaines retrouvent leurs amusements d'enfant. Les vieux chênes liège non exploités, offrent des écorces rugueuses et irisées.
Quelques passages de ruisseaux donnent des sueurs froides, mais la fraîcheur maximale est atteinte lors du repas pourtant à l'abris des chênes (sans liège). Et pour clore passage dans un ancien puits à glace à 440 m d'altitude.
Non, ne nous plaignez pas, ce fut comme les autres une très belle journée au cours de laquelle certains ramenèrent des souvenirs boisés (liège et Bruyère).
Retour par les mêmes "lévadas" jusqu'au village.
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Collllioure 5
Le 17/05/2018
C'est en force que nous partons vers Sorède, capitale mondiale de la cravache en micocoulier : en effet Madeleine et Gérard sont venus découvrir un nouveau circuit, concocté par Arlette, eux qui connaissent déjà très bien cette région. Pour vérifier l'heure, nous passons devant le moderne "cadran solaire monumental à style droit fictif", puis direction dans les reliefs boisés.
Au passage Roseline fait connaissance avec sa sainte, mais ne s'y reconnait pas question couleur !
Après une gentille montée, brève visite de Notre Dame du Château puis montée au Nid d'aigle qui offre une vue sur tout le secteur. Retour sur nos pas pour découvrir l'emplacement d'un four solaire mis au point en 1900 (!) par le portugais visionnaire "Padre Himalaya" : voir photo d'époque.
Le repas tiré du sac sera pris sur le site en partie abrité du vent (toujours présent).
Descente tranquille vers la vallée du Bonheur (et oui !) et son parc des tortues, puis retour en bordure de ruisseau. Une halte pour les gourmands : chocolat agrémenté de Tourons offerts par nos catalans d'adoption : attention c'est dur à couper !
Rentrée tranquille pour un apéro frais grâce à nos voisins marcheurs.
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Colioure 4
Le 17/05/2018
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Pour changer, cette fois aller simple de Banyuls à Cerbère par le chemin côtier, et cerise sur le gâteau, retour par le train SNCF.
Pour commencer, visite de ruelles pittoresques et pentues des anciens quartiers qui portent la mémoire d'Aristide Maillol : en fait nous suivons ses pas jusqu'à sa maison. Passage derrière la fameuse plage de galets qui a hélas perdu depuis longtemps ses barques colorées de pêcheurs. Nous profitons de quelques œuvres de l'artiste avant de rejoindre le monument aux morts, de la même "patte".
Après passage devant le grand bâtiment universitaire axé sur la mer, "on attaque dans le dur" : succession de montées, descentes, passages alternés de falaises puis de criques.
Mais toujours un paysage parsemé de nombreuses plantes multicolores et odorantes. Le vent toujours présent, est chargé de senteurs variées. Au Cap Rédéris (118m), il redouble et cherche à compléter sa collection de coiffures : il faut réagir vite !
Lorsque l'heure du repas arrive nous trouvons un refuge calme sous des pins aérés et lumineux.
Poursuite de notre périple aidé par un vent arrière assez doux (en température). Les arbres habitués à ce régime autoritaire courbent tous l'échine dans la même direction.
A force d'en voire, les plus belles fleurs nous laissent presque indifférents, mais les cactées offrent des formes dignes d'un parc d'attraction mondialement connu ....
Après un chemin escarpé, nous rejoignons rapidement le quartier de la fameuse gare de Cerbère et le célèbre "Paquebot".
Retour à Banuyls par le train qui part pile à l'heure.
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Colioure 3
Le 16/05/2018
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Depuis le début de nos randonnées nous considérions, depuis la cote, que les sommets qui nous dominaient étaient bien lointains, voire inaccessibles.
Et bien aujourd'hui 1er mai, c'en est fini !
De bon matin nous attaquons par la face Nord la redoutable tour Madaloc et ses voisins la batterie de Taillefer et la batterie 500 . La montée est rude mais tout le monde s'accroche, peut-être aidé par un fort vent arrière. Après la première batterie, la cote s'adouci et le souffle est plus facile. L'accès à la tour Madaloc (656 m) reste aisé. A ce sommet qui embrasse toute la région, nous faisons la bise à Danièle pour son anniversaire. Dans ce but Arlette a opportunément glané un bouquet des plus varié.
La descente parfois abritée du vent est assez aisée. Dans un ancien fortin nous toisons un détachement militaire
Nous pic-niquons près d'une construction atypique dont les murs recouverts de céramique sont chargés de noms et de mémoire. Les militaires lourdement chargés profitent de notre arrêt pour nous dépasser .... (en fait ils avancent un peu plus !).
Retour facilité par le tracé d'une conduite d'eau (imaginez le dénivelé !).
Au retour nous avons le temps de faire une halte "pédagogique" chez un producteur de Banyuls : Les dégustations et achats ne commençant qu'après visite documentée. Nous y avons entre autre, vu les dames Jeanne, permettant l'affinage des grands crus. Hélas, Arlette n'a pas voulu poser au milieu de ses cousines.
Malgré cet intermède, un apéritif fut offert par Danièle, mais les vrais verres le furent par Madeleine et Gérard en résidence à proximité.
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Colioure 2
Le 15/05/2018
~~Après un solide petit déjeuner, nous récupérons l'habituel Pic-nique bien consistant puis départ depuis les hauteurs de Port Vendres. Nous longeons la cote parsemée de fortins et casemates pour retrouver le port où nous faisons la connaissance du président d'un club de marche local.
Après un bref passage devant des oeuvres d'art "reptiliennes", poursuite du chemin côtier vers le Sud, avec comme toujours son florilège de fleurs.
Les photos montreront que par rapport à la veille, les couleurs vives des participantes (ici je peux employer le féminin !) commencent à se découvrir ... certaines se sentent-elles concernées ?
Passage entre forts et autres territoires militaires (sémaphore) où nous évitons les photos : pourtant les griffes de sorcières offre des couleurs qui font pâlir de jalousie Roselyne.
Après un repas sous le soleil et sur les rochers formant parfois des dossiers adaptés, poursuite jusqu'à une plage bien accueillante, mais personne n'ose se baigner.
Encore un petit effort avant d'atteindre l'ancienne dynamiterie Nobel, où les conditions de vies étaient loin des nôtres ....
Après une brève visite (qui se termine avec le chocolat fin quasi rituel) nous nous enfonçons dans le pays des vignes.
Un joli village perché nous attire vers sa chapelle (fermée par une magnifique porte bardée de ferrures datées de 1784).
Retour par les vignes pentues jusqu'à Port-vendres.
Je ne parlerai pas de l'apéro traditionnel pris en agréable compagnie
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Horreur !
je constate avec horreur que les "fotes" d'orthographe sont beaucoup plus visibles sur le texte du blog que sur mon écran blanc et qu'il n'y a plus moyen de corriger !