Association Sportive Laïque Louhannaise
Le lac de Salagou
Le 24/05/2018
Les kilomètres passant les langues se sont déliées et lors de la pause la station service s'est vue envahie par une troupe enjouée.
Arrivé à Fontès tout le monde s'est précipité vers les crèmes solaires pour se protéger d'un soleil qui commence à se faire pressant.
La traversée du village se fait à travers les rues et celle des égouts sur un barrage branlant et certaines ne craignent même pas d'y mettre les deux pieds. Arrivés au dessus des vignes, les estomacs dans les talons, les randonneurs déballent les quelques provisions mais aussi parfois très abondantes, pour se sustenter.
Sans sieste la randonnée se poursuit au milieu des forets et des vignes et le retour vers le village réjoui les connaisseurs , la cave vinicole est ouverte ainsi que le bar pour une dégustation des liquides colorés locaux sous les yeux de l'homme à la pipe de Séte.Apres force dégustations les cartes bleu rougissent et le coffre du car se remplit de cartons.
L'installation au camping se fait rapidement et les demis de bière rafraîchissent les assoiffés.
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Collioure fin
Le 23/05/2018
~~Quelques photos supplémentaires que chacun s'amusera à situer dans le temps et dans le texte.
J'oubliais : Arlette a même joué de la pince à épiler !
Il y a une photo que je n'ai mis que parce-que j'ai subi des pressions, sinon ....
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Colllllllioure 7
Le 22/05/2018
~~Ce matin Roseline décide de faire le ménage ....
Départ depuis le parking de la gare de Cerbère où nous avons déjà mis nos pas quelques jours auparavant.
Arlette tente une dernière fois de nous perdre (non !) dans un tunnel rempli de couleurs, mais nous nous retrouvons tous en bordure de côte ou se trouve un ancien wagon décrivant le rude travail des femmes et hommes qui devaient transborder les marchandises des trains espagnols aux trains français (et vice versa), lorsque voies et essieux n'étaient pas compatibles, jusqu'en 1970.
On s'éloigne de Cerbère et de son importante gare par la côte jusqu'au phare solaire. Le vent est toujours puissant (mais moins que la veille 140 km/h). La falaise qui nous fait face nous oblige à gravir jusqu'au col de Belitres où se trouve la Frontière. C'est là que passèrent de très nombreux réfugiés fuyant le régime franquiste en 1939 lors de la "Retirada". De nombreux panneaux et photos illustrent cette histoire.
Puis nous poursuivons en suivant une frontière agréablement fleurie et parfumée. Nos randonneuses n'ont plus d'yeux que pour ces belles plantes et tentent, à qui mieux mieux, de récolter de futurs plants de Thym, Lavande et mimosa. La randonnée se poursuit ainsi en ballade mais nous montons toujours....
Un repas ensoleillé pas trop venté, et on redescend.
Il reste de la place dans les sacs alors, cueillette d'Oreilles de Mickey (avec parfois essayage !).
C'est hélas le retour parmi les vignes et les bourdonnements d’abeilles.
Une dernière vue sur la gare et d'un essaim d'essieux, puis retour autour d'un ultime verre.
Quelle belle semaine !
Grand merci à Arlette pour son organisation, son appui et ses explications sans faille ... et ses bons chocolats !
Merci aussi à Madeleine et Gérard qui son venus nous supporter, offrir leur aide logistique (dont réfrigérateur) et la découverte d'excellents produits locaux.
A bientôt
Jacques
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Collllllioure 6
Le 18/05/2018
~~Nous retrouvant à Dix, nous démarrons ce matin de Laroque des Albères en passant par l’ancien château dont il ne reste qu'une tour isolée. Montée ombragée avec passage à un ancien moulin en cours d'aménagement. Ensuite un long chemin bordé d'un petit canal. Nous quittons ce type de sentier rappelant les "lévadas" de Madère pour des chemins plus pentus à la découverte de plusieurs sources peu productives. Certaines retrouvent leurs amusements d'enfant. Les vieux chênes liège non exploités, offrent des écorces rugueuses et irisées.
Quelques passages de ruisseaux donnent des sueurs froides, mais la fraîcheur maximale est atteinte lors du repas pourtant à l'abris des chênes (sans liège). Et pour clore passage dans un ancien puits à glace à 440 m d'altitude.
Non, ne nous plaignez pas, ce fut comme les autres une très belle journée au cours de laquelle certains ramenèrent des souvenirs boisés (liège et Bruyère).
Retour par les mêmes "lévadas" jusqu'au village.
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Collllioure 5
Le 17/05/2018
C'est en force que nous partons vers Sorède, capitale mondiale de la cravache en micocoulier : en effet Madeleine et Gérard sont venus découvrir un nouveau circuit, concocté par Arlette, eux qui connaissent déjà très bien cette région. Pour vérifier l'heure, nous passons devant le moderne "cadran solaire monumental à style droit fictif", puis direction dans les reliefs boisés.
Au passage Roseline fait connaissance avec sa sainte, mais ne s'y reconnait pas question couleur !
Après une gentille montée, brève visite de Notre Dame du Château puis montée au Nid d'aigle qui offre une vue sur tout le secteur. Retour sur nos pas pour découvrir l'emplacement d'un four solaire mis au point en 1900 (!) par le portugais visionnaire "Padre Himalaya" : voir photo d'époque.
Le repas tiré du sac sera pris sur le site en partie abrité du vent (toujours présent).
Descente tranquille vers la vallée du Bonheur (et oui !) et son parc des tortues, puis retour en bordure de ruisseau. Une halte pour les gourmands : chocolat agrémenté de Tourons offerts par nos catalans d'adoption : attention c'est dur à couper !
Rentrée tranquille pour un apéro frais grâce à nos voisins marcheurs.
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