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"On était une quarantaine dimanche 16, à découvrir ensemble un petit coin adorable de Bourgogne autour du château de La Rochepot.

Le matin, après l’accueil dynamisant, une balade guidée de 10 km, préparée avec soins par nos amis de la Vaillante, nous a fait découvrir le hameau d’Évelles et le village de Baubigny.

Au passage sous les roches, l’évocation du village antique de Dracy et les ruines encore bien visibles, nous a ramené quelques siècles en arrière, aux temps des Grandes compagnies et des écorcheurs.

Puis au travers des buis et vignobles des hautes côtes de Nuits, nous avons regagné Évelles pour un repas des plus convivial sous un soleil encore chaud.

L’après-midi, le ciel se voila quelque peu, mais la visite guidée du château de La Rochepot ravit tout le monde.

Ce fut donc une belle journée, appréciée et ponctuée par un dernier coup à boire offert par la Vaillante, avant de se séparer et se dire à bientôt.

Merci aux Autunois et aux guides! «

~~225 hbts en 1831, 36 en 2013
Un village attractif[
• Petite, discrète et paisible, Collonge-la-Madeleine est le lieu favori de plusieurs étrangers qui prennent plaisir à s'y reposer.
• Le C.P.I.E. (Centre Permanent d'Initiatives pour l'Environnement) du Pays de Bourgogne, situé sur le territoire de ce village, organise l'été des séjours de vacances. C'est à Collonge-la-Madeleine que quelques enfants peuvent alors découvrir l'équitation, la pèche, la photographie, la construction des cabanes mais aussi et surtout les divers secrets de la nature.
Lieux et monuments[
• L'église romane, chœur à deux travées et chevet plat. Entourée du cimetière.
• Château d'Alibourg, en ruine.
• Lavoir et ancien moulin à eau.
• Four à pain en pierre et en bois.
• Étang.
• Centre du C.P.I.E-Pays de l'Autunois qui accueille des jeunes durant l'été et organise des stages d'archéologie, d'accrobranche, de pêche etc.
Économie[modifier |
• Agriculture et pâturage.
• Élevage de porcins et bovins (race charolaise).
• Petits commerces.
• Centre de vacances et de classes de découverte.

Le château de Morlet est situé sur la commune de Morlet en Saône-et-Loire, au creux du vallon dans lequel s'étage le village. Il fait l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques depuis le 27 juin 1984 ; l'ensemble du parc et du château a été inscrit par arrêté du 17 juillet 20141.
Description[
La construction se compose d'un corps de logis entre deux tours carrées inégales; la tour orientale, très massive et coiffée d'un toit élevé, semble la plus ancienne. Les fenêtres à accolades ou à meneaux verticaux de la façade méridionale et des tours sont du XVe siècle. Les fenêtres à balconnets de la façade nord ont été refaites au XVIIIe siècle. Le château était protégé par un fossé. Au-delà de l'avant-cour, s'élève le pavillon d'entrée qui porte la date de 1584. Le bâtiment central, où s'ouvre la porte en plein cintre flanquée d'une petite porte latérale, et les pavillons carrés qui l'encadrent sont appareillés à bossages. Cette construction massive présente les éléments de défense d'un château médiéval: canonnières réparties vers toutes les directions et mâchicoulis sur toute la longueur de l'édifice. Mais l'influence de la Renaissance italienne se marque dans le style de ces éléments, en particulier les mâchicoulis qui se présentent comme une frise de médaillons figurant des mufles de lions et qui sont portés par de petites consoles moulurées. La polychromie du marbre ajoute à l'aspect décoratif de ces ornements. Des cartouches de marbre au-dessus de la porte portent une inscription latine, les lettres PDM, et des armoiries détruites. Une chapelle a été aménagée au milieu du XIXe siècle dans le pavillon de gauche.
Le château est une propriété privée et ne se visite pas.
• fin XIIIe siècle : les seigneurs de Loges prêtent hommage au duc pour la maison forte de Loges, les fossés tout autour, la basse cour et l'avant-cour fortifiée avec chapelle et grange
• 1584 : Simon de Loges fait reconstruire l'imposante porterie
• 1680 : la seigneurie est acquise par Jean Morelet, doyen de Notre-Dame de Beaune
• 1700 : un autre Jean Morelet, neveu du précédent, écuyer, obtient par lettres patentes de substituer le nom de Morlet à celui de Loges
• du XVIIIe siècle au XXe siècle : le château passe aux Bouhier, puis aux Vogüé, puis à la famille de Louvencourt jusqu'en 2013.
CHATEAU DE MORLET 
Bourgogne
Saône-et-Loire
2 rue de la Brieure
71360 Morlet
CONTACT
Mme Isabelle Debost
Tél. 06 78 83 36 94
Site internet : Visiter le site
 
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Présentation
Le château est attesté dès la fin du XIIIe siècle par les seigneurs de Loges. En 1680, la seigneurie est acquise
par Jean Morelet, doyen de Notre-Dame de Beaune, auquel succède son neveu; c'est ce Jean Morelet, écuyer, qui obtint par lettres patentes du 9 juin 1700 de substituer le nom de Morlet à celui de Loges. Puis le château passa à la famille Bouhier puis Vogüé avant de parvenir à la famille Louvencourt au XIX siècle. La construction se compose d'un corps de logis entre deux tours carrées inégales; la tour orientale, très massive et coiffée d'un toit élevé, semble la plus ancienne. Les fenêtres à accolades ou à meneaux verticaux de la façade méridionale et des tours sont du XVe siècle, les fenêtres à balconnets de la façade nord ont été crées au XVIIIe siècle. Une chapelle a été aménagée au milieu du XIXe siècle dans le pavillon de gauche.
Le Château de Frétoy a été construit en 1900 par l’amant de Cécile Sorel, une actrice célèbre de la Comédie Française. En 1941 le château a été vendu à la Croix Rouge qui l’a utilisé pendant de nombreuses années comme sanatorium. Durant la seconde guerre mondiale on y a soigné des blessés Sur certaines cartes géographiques le château de Frétoy est toujours indiqué par une croix rouge. Sur le domaine on trouve également une tour ou étaient les groupes

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"Catherine et Pierre nous ont convié à une bien jolie balade, dimanche au dessus de Nanc les St Amour, entre L’Aubépin, Nantey et Andelot.
Par un temps presque idéal, on a bien eu les trois châteaux promis au titre, et en prime, un repas pris du haut d’un promontoire avec une superbe perspective.
Nous étions un vingtaine environ à déguster ce dimanche, au rythme de nos pas tranquilles.
Du beau temps, des sites remarquables, une ambiance des plus cool: N’est-ce pas ainsi qu’on goûte le mieux aux charmes de la balade ensemble?
D’une discussion à l’autre, au cours de la journée, on a pu entendre que nous ne ne privilégiions pas suffisamment ce Revermont si caractéristique, et finalement pas si loin de Louhans.
C’est vrai qu'entre Lons et Bourg, le premiers contreforts du Jura leurs hameaux et leurs petits villages, savent toujours nous surprendre et nous séduire.
C’était bien!
 Merci Catherine et Pierre."