Partant du Pont de la Pyle, le groupe s'est enfoncé dans les frondaisons nappées de mousses pour aboutir sur le premier belvédère, rétroviseur sur ce premier tronçon, et arriver finalement à Bellecin ou Philippe Lucas dit Alex  a fait traverser le lac à l'équipe des bargeots après les avoir équipés de brassières adaptées aux morphologies de chacun.
Petite grimpette dans la pinède avec vue sur les calanques de Cassis pour s'engager sur le chemin de la sirène égarée au milieu des crabes géants ou rouges.
Retrouvailles avec Bernadette sur le château d'eau à défaut du vrai château de Maisod.
Deuxième parcours de la journée dans les bois et énièmes belvédères sur le lac,  arrivée aux voitures pour s'élancer vers la plage Surchauffant  ou Jacques et Marie Christine ont voulu faire baisser la température.
Poseïdon, sorti de l'eau s'est cru à la fashion week et la sirène s'est contentée de la serviette minimaliste de tout bon campeur.
Fous rires et boissons rafraîchissantes  avant le retour.

Cette année encore il a pris les costumes  ou il excelle le plus avec nous. Que ce soit ceux  de chauffeur, de voiturer, de bagagiste, de coursier, de facteur, de factotum, de cuisinier, de barman, de maître d'hôtel, de conseiller, de garde du corps, de photographe, de pisteur et même de randonneur il est toujours présent avec sérieux le sourire aux lèvres et l'oeil bleu pétillant de malice retenue.
A chaque moments de la journée il met de l'huile dans les rouages et empêche le sable de gripper la machine.
Il a et est indispensable au groupe.
Merci Jean Paul

Notre petite troupe est arrivée au refuge de  Prato Piazza en Italie le 11 juillet après 12 h de route à travers la Suisse et l’Autriche. Long ! Long ! Long !!
Et de suite, nous sont apparues les Alpes Dolomitiques  majestueuses, belles à couper le souffle avec ses paysages aux stries de calcaire clair, alignées, bousculées, cassées,  ses mélèzes, ses pins mugo ou arolles, ses alpages fleuris de gentianes bleues, d’édelweiss et de potentilles luisantes et ses pierriers austères aux caillasses fuyantes.
Rémy, le guide a su mener sa troupe avec douceur et assurance de vallons en cols, de sentiers forestiers en pierriers instables, de pistes confortables en failles vertigineuses.
Et toujours un petit chant quand l’inquiétude  s’installe sur un sentier trop abrupt, une histoire drôle pour oublier le coup de fatigue et repartir avec le sourire, un point de botanique, de géologie  ou d'histoire quand l'occasion se présente.
Six jours de randonnées  avec une météo ensoleillée mais pas caniculaire, des orages bien élevés qui n’éclatent que lorsque les randonneurs sont bien installés dans le gîte.
Six beaux circuits aux panoramas divers où la vue porte toujours très loin  par-delà des massifs aux noms si chantants : Fanes, Tofane, Lagazuoï,  Christallo, Tre Cime, Paterno...
 Bon accueil dans les gîtes : la rigueur autrichienne alliée à la générosité italienne, festival de pâtes et d’apfel strudel (le feuilleté pomme -cannelle, emblème de l’Autriche). Et de la bière !
 
Séjour formidable dans les Dolomites.
Bonne ambiance,  un bon guide, des piques niques variés …
Tout était parfait.

Photos consultables sur :https://www.flickr.com/photos/123172267@N06/sets/72157656057334846

Journée touristique . au programme petit train à vapeur des Cévennes et pour nous rendre à la gare un peu de randonnée sous le soleil matinal.
Le président,  à l'abris des regards , s'est mis à rêver de la conduite de la locomotive , mais cela est réservé aux pros.
Partis pour Anduze avec le bruit de la loco, les odeurs de la vapeur et de la fumée, nous y sommes arrivés après être passés sur des viaducs, des tunnels, par dessus la route et le Gard.
Repas dans un verger privé sous une ombre bienfaitrice et visite de la bambouseraie et ses différents jardins: japonais, d'eau, de bonzais , de bambous ,etc.. et puis retour à la case petit train pour reprendre les voitures et se rendre au musée du Désert qui évoque l'histoire du protestantisme dans une région profondément réformatrice.
Le soir quelqu'uns ont profités de massages avant de passer à table et se plonger dans des draps pas  bien  frais.
Demain , de la voiture et éclatement du groupe.

Cela a été vraiment une grosse journée longue de 23 km sous une chaleur de 36° C avec peu d'eau pour se ravitailler.
Pas de traversée de villes mais des villages à la Pagnol avec la boulangerie et sa table à l'ombre qui attend les joueurs de manille et l'hôtel restaurant avec le figuier aux odeurs fortes  et partout des cultes protestants et des messes catholiques notés à l'entrée des villages. Nous avons côtoyé les mûriers et les magnaneries et de nombreuses terrasses de pierres pour les châtaigniers. Que de la belle pierre chaude et des lits de rivières vides et  désertés de toute humidité.
En avançant dans la journée la soif s'est faite précise et la chaleur aidant , après le repas une léthargie communicative s'est emparée du groupe.
Chemin faisant la course à l'ombre a été de mise avant de pénétrer enfin dans le moulin au joli nom" le pré de Modestine" avec des propriétaires prénommés Michel et Evelyne  qui se coupent en quatre pour nous accueillir (boissons fraîches gratuites pour tous , apéritif , vin à volonté, café et tisanes compris et beaucoup de gentillesse pour un groupe fatigué)
Pour demain tourisme et massages